14 février , Nos Valentins ne nous ont pas offert de fleurs mais plutôt des tracas . Le premier, Battri, a un faible à 20% pour Klara… et l’a contrainte d’ailleurs à retourner à l’hôtel pour chercher de l’alimentation. Le deuxième, le general Power , a osé planter Gaelle pendant au moins 3heures avant de revenir, enfin. Non vraiment la Saint Valentin c’est pas un truc d’indien. De toutes façons on s’en fout. En clair, on a passé la demi-journée à écrire les trois billets précédents et surtout à les envoyer. Vous ne pouvez pas vous imaginer le temps qu’on passe à vous écrire et à vous illustrer toutes les belles choses. Bref, aujourd’hui, Shanti Shanti comme disent les indiens. Le temps est maussade, gris et un peu plus frais, quelques gouttes tombent…Ah on perçoit chez nos lecteurs cette petite pointe de satisfaction à voir qu’on n’a pas tous les jours du ciel bleu et du 30°C …la température est redescendue à 25°C , et on n’est plus habituées ! Nous avons fait nos dernières emplettes, Klara a eu la désagréable surprise de se faire mordre la fesse gauche par une vache sacrée (et ça fait mal) et sur le chemin de la station de bus pour prendre les renseignements pour le lendemain (ça aussi ça prend du temps), nous avons aperçu le temple à Krishna interdit aux non-indiens et visité un autre monument, un mausolée à Onsépaki. Le soir est vite arrivé, la nuit tombe vers 18h , et on a dîné chez Pawan, dans la rue, d’un fallafell indianisé en kebab. On a papoté avec un français qui mangeait la même chose et nous a parlé du prochain ghat à droite en sortant qui contient un crocodile embaumé, exécuté parce qu’il avait mangé la jambe du maharajah qui était venu se baigner dans le lac de Pushkar… il se met à pleuvoir, orage, o desespoir, panne d’électricité, heureusement qu’on a pris nos lampes frontales, on a avancé la préparation des bagages. L’électricité est revenue, puis repartie, puis revenue, bref…on a finit par dormir.
2ème essai mais pourquoi ca bloque