Le voyage en avion….


Bon ben voilà, 3h15 heure française . Bien évidemment, le décalage m’a décalqué. quoique. En fait j’ai passé une super journée. Tout le monde n’a pas la chance il est vrai d’avoir une cousine à Miami. Enfin moi je l’ai. En vrai, elle habite Palm beach, c’est à peine plus loin. Mais elle était venu me chercher. Et on s’est fait…une plage! Un brin de vacances sous les tropiques, les kite surfers, les joggerse fous, bref, j’étais pour de vrai dans une vraie série américaine. Avant le voyage de 10 h et plus pour relier Paris et Miami, je l’ai pas trop senti. J’avais eu la bonne idée de passer une nuit blanche la nuit d’avant -de toutes manières je suis toujours tellement speedée qu’il me faut au moins cela pour être sûre de ne rien oublier! Donc…dans l’avion….même si j’avais la tête collée au hublot, j’ai dormi. Réveillée régulièrement comme à l’hôpital par les stewarts et hôtesses qui ne manquent pas de demander “dyouwantsomethingtodrink?” Et qui portent le repas à 12h , le goûter à 16h, le dîner à 20h…pendant ce temps , il n’y a que 4 heures qui passent, alors forcément on a l’impression de ne faire que ça, manger…
Alors après manger, faute de pouvoir bouger faire quelques pas, je regardai par le hublot… et j’ai vu la banquise… (la preuve sur la photo) et puis aussi d’autres paysages.

En arrivant sur Miami, j’avais l’impression d’être dans le sim’s, vraiment. Tout est net et propre, les rues sont taillées au cordeau, l’espace se délimite en carrés réguliers. Moi comme c’est la première fois que je vais en amérique, ça m’a beaucoup étonné. J’avais vraiment l’impresssion d’être dans un jeu video.

Bref, à l’aéroport, après le passage de tous les barrages de contrôle (mains, photo d’identité et interrogatoire serré, j’ai retrouvé ma cousine Regina et sa fille Laura. 8 ans que je n’avais pas vu ma cousine!

Et comme on était sur la même longueur d’ondes, direction les planches de Miami Beach, ses dunes de sable pleines de palmier.

Magnifique balade dans le vent et le chaud. Pour rigoler, incursion dans l’Eden roc, un espèce de palace monstrueux qui accueille que des américains de carte postale. C’était rempli de gens huppés, des qui ont les moyens de pas devenir obèse! Et pour finir petit tour au centre de Miami, ambiance vacances en Espagne, plein de musiciens. J’ai mangé une glace, tout est démesuré dans ce pays. Enfin ça ce n’est pas nouveeau, c’est limite une platitude que de le dire!!!!

Alors la suite, c’est un peu d’attente à Miami, avec la désagréable surprise de voir que le wifi y était payant…Le vol où j’ai dormi tout du long. Et l’arrivée, avec la sensation quand même d’avoir bien la tête qui tourne. 1/2 h de voiture pour arriver là, chez Marie Danielle Demelas.
Splendide maison…avec le wifi !

fin prête?

pfff, tu parles…je suis toujours d’une lenteur insoutenable sur les bagages. Faire, refaire, défaire…c’est qu’il ne me reste plus tant de temps que cela pour tout finir. Oublier quelque chose? et alors . mais pourquoi je stresse donc comme ça….

Les préparatifs …

Les perspectives du voyage se précisent. Je commence à faire un point de l’équipement….je commence aussi un peu à flipper…principale raison : je ne parle pas espagnol! un peu gênant assurément…
Je devrais voyager, voir du pays. Un peu peur de l’insécurité en tant de situation politique,qui se tend un peu, puisque Evo Moralès a commencé une grève de la faim il y a quelques jours. Didier toujours le mot pour rire a commenté mon prochain départ d’un « Tu vas nous faire ta betencourt? », assorti du « N’oublie pas de prendre un T-shirt de la radio » d’Alex. Retour prévu le 16 ou 17 mai…de cette année, non mais!
On me demande d’intervenir à l’autre bout du pays, dans des lycées francophones, en région semi-tropicale…pfff….je flippe des moustiques et de la dengue. Faut dire que c’est pas bien drôle comme maladie.
Bien, revenons à une rationalité plus pragmatique. Me restent de l’équipement à prévoir et du boulot à finir.